Pour que ce journal ne soit pas QUE le mien ! Premier Rêve Eveillé !

Publié le par FzG

Nouvelle idée ! Nouveau concept ! Le rêve éveillé... Un début de rêve que j'aime à faire... Juste envie de vous en faire profiter... Alors voilà je lance un titre, une musique, une situation initiale, et...






...rien d'autre... Si vous êtes inspiré vous pouvez vous lancer dans un Réve Eveillé... Laissez vous allez... Laissez votre imagination prendre le dessus... Tout peut arriver... Car votre imagination n'a pas de limites ! Laissez vous glisser dans ce monde étrange sinueux... Laissez vous guider dans VOTRE monde. ensuite si vous petes inspiré, et si vous voulez faire partager votre Rêve Eveillé vous pouvez l'écrire en commentaire, en faire une lettre pour la personne que vous aimez (ou pour quelqu'un d'autre !), le mettre sur votre blog... Enfin vous êtes libre, c'est votre oeuvre ! En esperant que cette nouvelle catégorie sera une réussite et que beaucoup essayerons de se lancer pour que tout le monde puisse profiter des Rêves... Puis-je vous demandez une faveur très chers lecteurs ? Pouvez vous me laisser un commentaire ou m'écrire pour me dire si mon idée est bonne ? N'ayez pas peur, si cette folie n'a pas d'issu je ne vous en embarraserai pas ! Mes l'intérêt d'un journal en ligne, c'est d'être ludique, il faut que chacun puisse participer, qu'il ne soit pas figé par son auteur... J'ai envie que chacun participe à sa construction... Alors n'hésitez pas à proposer des choses, à me les envoyer par mail, à mettre des commentaires... S'il me plaisent ils se transformeront sans doute en article !
 



Réver  en écoutant => Now We Are Free de Hans Zimmer  
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Le Soleil se lève sur le Palatin... Rome, la Ville Eternelle, Rome, la lumière du monde, s'éveille doucement... 

Maintenant c'est à vous... Ce rêve vous pouvez le partager, mais vous pouvez aussi le garder pour vous, dans votre tête et le faire avant de vous endromir, pour doucement, glisser dans vos rêves et ne pas vous ennuyez au moment de fermer les yeux !

Publié dans Rêve Eveillé

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F
Le Soleil se lève sur le Palatin... Rome, la Ville Eternelle, Rome, la lumière du monde, s'éveille doucement... Lui aussi s'éveille... Il y a longtemps qu'il n'avait pas autant dormi... Il cherche à ses côtés... Se retourne dans le lit... Mais n'y trouve personne... Il se souvient... Les larmes coulent sur ses joues... Elle est partit... Il ne sait pas vraiment pourquoi... Il y a quelques années, lui aussi voulait partir, la laisser seule... Mais ils s'étaient unis pour la Vie, alors à quoi bon l'abandonner ? Cela ne servirait à rien, c'est pour ça qu'il avait préférer rester à ses côtés... D'autant plus, qu'ils avaient passé de merveilleux moments ensemble... Un heureux évènement doit arriver bientôt... Il ne le verrait même pas...A plusieurs fuseaux horaires d'ici, se trouve "Elle"... Elle est prête à se coucher... Elle ne trouve personne déjà installé dans le lit... Et c'est mieux ainsi... Si elle l'a abandonné, c'est qu'elle a de bonnes raisons de l'avoir fait... Elle préfère ne pas penser à lui... Elle est contente, il doit sûrement être seul maintenant... C'est bien fait pour lui... Il ne va pas connaître son enfant, tant mieux pour le petit... Elle a bien fait de partir... Elle veut refaire sa vie... Vivre une vie meilleure... Et être heureuse... Le Soleil se couche sur ses moments de bonheurs et de rêveries...Chez "Lui", il ne se passe rien d'intéressant... Il est seul, devant son ordinateur, et essaie de se concentrer sur son travail... Mais il a des raisons de ne pas y arriver... Sa femme vient de partir avec son enfant... Le visage d'"Elle" ne veut pas s'effacer de sa mémoire...  Il pense qu'il est seul au Monde... A l'heure qu'il est, beaucoup dorment encore... Ils vont se réveiller et vivre des moments heureux, etre amis, en famille... Et lui, il est là, comme un idiot, avec une fille qui vient de le lâcher... Déjà, dehors, les petits oiseaux chantent... Il a envie de leur fracasser la tête contre le mur du balcon... Mais refuse de le faire... Après tout, ce n'est pas de leur faute, s'il est malheureux... Il ne cesse de se remettre en question... Qu'a-t-il fait de mal à Elle pour qu'elle parte comme ça ? Il essaie de se rapeller ce qu'il a fait ces derniers jours... Rien ne lui semble anormal... Pourtant, il doit bien y avoir eu quelque chose... Ou alors une mouche l'a piquée... C'est une mouche qui donne des idées bizarres quand même...A l'autre bout de la Terre, elle dort... Son ventre arrondi bouge... Le petit veut se montrer... Peut-être essait-il se dire à sa maman qu'elle n'aurait pas du abandonné son mari... Elle rêve... De sa vie future... Sans mari...Avec juste un être unique, son fils... Il ressemblerait à son papa... Elle ne voudrait plus de lui... Et elle se réveille en sueur... Le bébé bouge de plus en plus...  On dirait qu'il a envie de sortir et de crier sa tristesse... Quelques heures plus tard, un maman donne vie à son petit sous les regards des médecins, étonnés de ne pas voir le papa... Un etit garçon s'éveille et voit le jour pour la première fois...Il est, tout d'un coup, pris d'un terrible mal de tête... Des voix et des images lui parviennent... Il doit sans doute rêver... Une femme accouche, un petit garçon s'éveille... Il ne veut plus les voir ces images... Il en a marre... Il en veut à la terre entière... Il voudrait être partout sauf ici... Il ne mange plus depuis qu'elle est partie... Il va mal finir... La rupture a créé un autre homme... Un homme sans envie, sans désir... Sans vie... La Vie ne le passionne plus... Il déraille et est en train de prendre le mauvais chemin... Prendre le mauvais chemin mais plus pour longtemps...Rome s'éveille... Eux aussi... Quelques mois ont passés... Le Soleil se lève sur le Palatin... Trois corps reposent dans un lit... Lui, Elle et le petit... Ils sont heureux... Ils sont ensemble... Ensemble pour longtemps... Pour la Vie... Oui pour la Vie...
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Z
Le soleil se lève sur le Palatin... Rome, la Ville Eternelle, Rome, la lumière du monde, s'éveille doucement... Les premiers souffles du matin eurent tôt fait de rendre feutrée l'amosphère de mon appartement. Par la fenêtre ouverte, les volutes des premières brumes d'Avril jouèrent avec les rideaux fins de la chambre. Comme une danseuse invisible, ils présentaient une chorégraphie lascive et réjouissante, éphémère et unique, dont j'étais le seul spectateur. Tandis que le vent jouait avec mes voils diaphanes, je traînais un morne ennui matinal dans l'atonie de l'aurore romaine. La journée précédente m'avait un peu bousculé.J'avais prié la veille au soir pour m'endormir avec son visage et rêver d'elle toute la nuit. J'espérais que son portrait dressé sur ma table de chevet m'aiderait à m'assoupir au creux de son sourire, sur le rebord de ses lèvres remontées, au coin de son regard fin et sombre, sur le contour de ses ridules fines et gracieuses. Dès les premiers signes de fatigue, je perçus comme son souffle dans mon cou. Je me concentrai sur son visage pour que les premiers délires de l'assoupissement emportent son image dans les limbes oniriques de cette première nuit de solitude. Tandis qu'imperceptiblement je basculai dans les mystères de la nuit, le gardien du secret des flâneries chimériques exauça ma prière et m'offrit un rêve en sa compagnie. Un beau rêve, un doux rêve, un merveilleux rêve d'amour tendre et de gracile chaleur. La nuit fut courte comme un rêve heureux et pénible comme une désillusion soudaine. Malgré la présence importune du jour à mon huis, je m'efforçai de garder les yeux clos pour qu'Orphée ne cêdât pas sa place à Phoebus. Mais les assauts des traits du soleil eurent raison de ma volonté et percèrent les murailles de mes paupières. Mes yeux s'ouvrirent sur ma réalité, sur ma solitude et sur Rome qui continuait de vivre.Car la ville éternelle ne s'était pas arrêtée pour moi. Elle avait continué de vivre, de respirer, de vibrer, de ronfler, de tonner, de vrombir et de trembler. Ma solitude ne l'empêchait pas de dormir. Ma peine n'altérait pas la beauté de ses marbres. Mon chagrin n'ébranlait pas l'austérité de ses colonnes millénaires ni ne ternissait la beauté de ses maisons sacrées. Les larmes de mon corps n'asséchaient pas ses fontaines dégoulinant des ondes magiques aux espoirs perdus dans les monnaies jetées. Elle n'avait que faire de ma rupture si brutale, la ville qui ne s'est pas faite en un jour. Cependant que je m'étiolais en elle, dans son sein, dans son coeur, elle poursuivait sa vie perpétuelle, au-delà de ses collines protectrices. Elle continuait de sourire au monde et de s'épandre en douceur de vivre alors que seul au monde je n'étais plus que douleur, chagrin et résignation.Ma rupture avec Cendrine fut vive quoique nous ayons consenti chacun à cette issue définitive. Elle s'était doucettement lassée de moi et avait trouvé dans les bras d'un autre le réconfort et la passion que je ne savais plus lui donner. Mon coeur aurait voulu s'avilir en bassesses et en supplications pour la retenir. Mais mon esprit le raisonna. Si j'ai toujours voulu son bonheur, il est normal que je la laisse courir vers celui qui lui donnerait un nouveau souffle de rire et un nouveau havre de joie. Ma peine n'en fut pas moins grande. Je ne me souvenais pas avoir tant pleuré. Le sel de mes larmes frottées contre mes joues iritèrent mes paumettes. C'est bouffi et hagard que je cherchais le sommeil après une demi-journée d'errance à me souvenir d'un passé évanoui. Elle était déjà loin et seule l'image de son portrait m'apportait du réconfort. M'endormir avec elle pour moi dans l'intimité de mes rêves fut une douceur merveilleuse que l'on m'offrit cette nuit-là.Les premiers rayons du pâle soleil d'avril irradiaient la chambre. Leur éclat jouaient dans le cadre du portrait de Cendrine sur ma table. Ils dégageaient partout dans la pièce une couleur ocre et dorée qui donnait à cette matinée un goût amer, comme si la vie devait continuer. La brume de la mélancolie s'évanouissait lentement dehors. Je mis vite fin au jeu du soleil en couchant le portrait et son cortège de souvenirs malheureux dans le secret du tiroir de mon bureau.M'approchant pieds nus de la fenêtre ouverte, je finissais tranquillement mon café. La ville s'éveillait sans moi et commençait à vivre malgré mon desespoir. Je ne m'en sentis pas assez éloigné pour ne pas me laisser aspirer par son énergie cathartique et par sa force incroyable. Car la vie était là, dehors, qui battait à tout rompre dans le coeur du monde. L'ignorer aurait été sot et les regrets, vaine pature des esprits oisifs, d'hier n'auraient jamais pris le pas sur les espoirs de demain. Il était tôt et je savais que l'avenir appartient à ceux qui se satisfont des déchirures flamboyantes de l'aube et du calme inouï de la pénombre du crépuscule.Sortir, ressuciter, survivre, revivre, tout était là et s'offrait à moi.La journée serait belle, ma vie aussi !
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F
François, Comme tu me l'as demandé je viens te dire si ton idée est bonne...Une idée qui germe dans ton esprit, dans ton corps peut-elle être mauvaise, nulle ? Je ne pense pas... Tu as toujours des idées géniales pour tout et pour rien... Crois-moi, l'idée que tu viens d'avoir est très bonne ! Je t'embrasse fort mon frère,Floriane.
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